Dolce vita

© Rosine Chouinard-Chauveau
Illustrations intérieures : Lætitia Giraud

2016
 | 444 pages
26,95 $ (papier)
24,00 € (papier)
18,99 $ (EPUB et PDF)
16,99 € (EPUB et PDF)
ISBN PAPIER 
978-2-923830-46-9
ISBN EPUB 
978-2-923830-47-6
ISBN PDF 
978-2-923830-48-3

On est à Paris. Maximilien termine ses études au lycée. C’est l’année du bac. Il est très séduisant, sûr de lui, et il a beaucoup de succès auprès des filles. Jusque-là, la seule chose qui l’intéresse, c’est d’avoir du plaisir, sous toutes ses formes, dans des soirées un peu glauques où alcool, drogue et sexe sont monnaie courante. Mais au fond, la vie qu’il mène l’ennuie.

C’est alors qu’Adrien, un jeune professeur, surgit et sème le trouble dans son esprit. Une relation amoureuse prend forme et il découvre l’homosexualité, s’ouvre à de nouveaux plaisirs.

Très vite, c’est l’amour fou. Physique bien sûr, mais aussi très pur, très beau, une véritable communion entre deux êtres qui découvrent peu à peu leur âme.

Mais les rapports avec Adrien, tourmenté par une récente rupture, sont compliqués.

L’écriture fluide, la langue châtiée décrivent avec une profusion de détails l’atmosphère et l’évolution des sentiments. Et on a vraiment envie de savoir comment tout ça va finir.

Lancement du livre
Photos du lancement
Présentation de l'éditrice
Présentation de l'auteur
Lectures par Violette Chauveau et Éric Bernier

Soirée de célébration des 5 ans de la maison d'édition
Allocution de Juan Joseph Ollu


REVUE DE PRESSE
Pivot avec Pineault ep.61 | Dany Turcotte | 14 mars 2022
Dany Turcotte recomande la lecture de Dolce vita à 00:07:25.
 
Suggestions de lecture | Billy Robinson | 8 avril 2020
(À 31 minutes dans le clip)
Dans cette capsule de suggestions de lecture en temps de confinement, le libraire et chroniqueur Billy Robinson y va de ses suggestions en littérature LGBTQ, et ses bons mots sur le roman Dolce vita de Juan Joseph Ollu sont nombreux:
« C'est un auteur qui m'a bouleversé, surpris. »
« On est à Paris, on s'y croit complètement, on a le goût de s'évader avec eux. »
« Dans l'histoire très prenante, on s'attache facilement aux personnages, c'est un des talents de Juan. »
« Certains passages m'ont rappelé Call me by your name. »
 
Denis Morin, Blogue | Denis Morin | 28 mars 2020
« Je m’attendais à retrouver une ambiance tango du style Je te veux, tu me jettes et me rejettes, mais je te veux encore… Je fus bien servi, au point d’en verser des larmes. »
« Ce roman ressemble à Rome dont les bâtiments ternes au petit matin prennent de teintes ocre, orange, rosées sous la lumière méditerranéenne du midi. Ecco un’ottima storia di amore da leggere! »
 
Le Cochaux show | Billy Robinson | 9 mai 2017
« Je recommande très souvent ce livre en librairie. Il va faire sa place dans notre littérature. C'est magnifique ! J'ai vraiment beaucoup aimé. »
 

Regards sur la ville | Corinne Bénichou | 25 mars 2017
« Son écriture est crue mais extrêmement bien maniée. Pas de faux-semblant, il décrit les scènes de sexe, comme celles du lycée, des sorties entre copains et des sentiments plus complexes liés à l’amour, de la même façon, ce qui donne au roman une homogénéité dans l’approche des personnages, leurs actes et leurs pensées. »

L'Express | Paul-François Sylvestre | 21 février 2017 
« Je vous ai aussi parlé du premier livre de Juan Joseph Ollu, Un balcon à Cannes. Il récidive avec un roman intitulé Dolce vita et examine les sentiments amoureux les plus extrêmes. Son écriture fluide et sa langue châtiée sont au service d’une quête de liberté et d’absolu. »

Le Devoir | Dominic Tardif | 11 février 2017 
« L’auteur du recueil de nouvelles Un balcon à Cannes (2012) prend ainsi salutairement le contre-pied du récit typique du gai-ayant-toujours-su-qu’il-préférait-les-garçons. À l’aide d’une langue tantôt alambiquée, tantôt joliment surannée, cette variation homosexuelle autour d’une éducation sentimentale autrement très traditionnelle célèbre avec fougue l’universel jusqu’au-boutisme d’une jeunesse découvrant qu’il fait souvent mal d’aimer. » ***1/2

Fugues | Benoit Migneault | 26 janvier 2017 
« Premier roman de Juan Joseph Ollu, né à Montréal, mais dont le parcours est partagé entre la France et le Québec, [Dolce vita] explore avec une grande minutie les dédales de deux pôles opposés et attenants : le désir et la rupture.  »

Par-ci, par-là | Marion Transetti | 30 décembre 2016 
« Le livre de Juan Joseph Ollu en est un d'atmosphère et de sensations. Accessoirement, il y est question de sexualité, d'homosexualité, de bisexualité, mais ce n'est pas là le propos central, car comme le rappelle l'auteur, le sexe du partenaire est secondaire, le sentiment fort passe avant. En plus d'une écriture subtile qui enveloppe le lecteur, le prenant délicatement dans ses bras, [l'auteur] compose un univers. Oui, il le compose, il ne le crée pas comme certains autres le font. »

La Presse + | Éric Clément | 11 décembre 2016 
« Bien écrit, le roman pourrait n’être qu’une banale histoire d’amour entre deux gars, mais l’écriture est bien dirigée, des éléments de complexité se succédant au fur et à mesure de la lecture. Dolce vita aborde les très actuels questionnements sur notre identité, sur notre capacité à aimer l’autre – quel qu’il soit – et sur notre soif souvent inaltérable de plaisirs. Un livre surprenant sur les tourments de nos passions. » ***1/2

Journal Plamplemousse-Le Plateau | Pierre de Montvalon
23 novembre 2016 
Un article consacré au lancement de Dolce vita : « Ébullition à la libraire Le Port de tête »